Voici le regroupement du Québec le plus près de mon coeur.
Plein de femmes, très souvent mères et des pères, engagés, passionnés et profondément humains.
Tout mon respect, mon admiration et toute ma tendresse 💚
Merci à Josée Blanchette pour sa chronique Le Devoir, 6 juin 2008
D’amour et d’eau fraîche (et de miso)
« Porte-parole pour l’allaitement, marraine pour les rivières, je veux bien, mais porte-parole pour du miso? Alexandrine Agostini est certainement la première bipède que je rencontre à s’exciter le poil des jambes pour un produit aussi peu sexy. Après le lait maternel, c’est le mot qui revient le plus souvent dans sa bouche et le troisième qu’a appris son fils Sacha après « Papa » et « Maman » (dans cet ordre!). « Cohérence totale, explique-t-elle. Deux excellents aliments VIVANTS — lait maternel et miso —, j’oserais dire les deux aliments supérieurs de la planète, accessibles, qui assurent une bonne santé et contribuent à une qualité de vie remarquable. Biologiques et locaux, de surcroît! »
Alexandrine n’est pas porte-parole de n’importe quel miso, mais de celui produit par les aliments Massawippi ( www.alimentsmassawippi.com ) . Le miso lui aurait sauvé la vie après de longues années de problèmes gastriques. Elle le décrit comme le Bovril des années 2000: anti hangover. La porte-parole en miso insiste sur les qualités du miso non pasteurisé, bio, de longue fermentation (cinq ans). Ses qualités sont nombreuses vu la quantité de maladies qu’il peut prévenir (hypertension, maladie de Crohn, candidose, staphylocoque doré); même le cancer (l’Institut national de recherche sur le cancer du Japon dans une étude menée sur plus de 21 850 femmes pendant 10 ans, affirme que la consommation de deux portions de miso par jour réduit de 50 % le risque de cancer du sein!).
Le miso permettrait aussi d’éliminer les métaux lourds. Il est vivement conseillé contre les bombes atomiques, la guerre, le désenchantement, le réchauffement climatique, tout ce qui se digère mal et tombe sur le coeur.
Bref, à défaut de remettre mon B au sein, je vais peut-être étendre du miso sur ses rôties le matin.
Il me remerciera un jour. »
Pour l’inspiration, l’intensité de l’expérience, la force de la beauté et l’acuité de la pensée,
merci à
Suzanne Jacob, Sylvie Laliberté, Patti Smith,
Christian Bobin, Björk, Diane Dufresne, Catherine Gadouas,
Catherine Ringer, Anouk Grinberg, Joséphine Baker, Odile Buisson,
Neale Donald Walsch, Racine, Élisabeth Kübler-Ross, Molière, Vanessa Poncelet Lopvet, Michel LeveSque, Agnès Varda,
Louise Laprade, Jean-Guy Viau, Christine Pascal, Ina Mihalache , Philippe Katerine,
Franck Lopvet, Mitsiko Miller, Gena Rowlands, Ysabel Michaud.
Et Geneviève Gratton.
Merci aussi à la musique, au fleuve et au mont Royal de Montréal.