
Quand j’étais Italienne,
sur scène
Récit:
Sylvie Laliberté
Conception: Alexandrine Agostini
Composition, arrangements, piano: Philippe Noireaut

Devant des portraits de famille lisses et joyeux,
les mots révèlent un pan
encore méconnu
de notre histoire.
Avec l’étonnement d’un enfant,
ils dévoilent l’injustice subie
par la communauté italienne canadienne
pendant la seconde guerre mondiale,
arbitrairement associée à l’ennemi.
Révélant ce passé enfoui de sa famille
et de notre société,
l’auteure transgresse les tabous.
Elle raconte
avec candeur et poésie,
l’histoire d’une maltraitance banalisée, puis cachée.
L’écoute de cette œuvre humaniste
et de la musique
qui en accompagne la sensibilité,
émeut et questionne chacun
sur sa capacité à briser le silence.
Le spectacle permet
de comprendre la honte des victimes
ainsi que l’impératif
des processus de réparation.
Un appel lumineux à la vigilance
envers les racismes d’aujourd’hui,
normalisés par le même argument sécuritaire.
Œuvres sœurs: La vie est belle, Inconnu à cette adresse, La vie devant soi…

Durée: 50 minutes
Équipe disponible pour rencontre après spectacle
Critiques du texte à la parution:
Entrevue de Sylvie Laliberté
Liste des diffuseurs qui nous ont reçus au Québec:
Festival Les Correspondances sortent d’Eastman, Chapelle historique du Bon-Pasteur,
les Maisons de la culture:
Montréal-Nord,
La Petite Patrie,
Côte-des-Neiges,
Rivière-des-Prairie,
Villeray-St-Michel-Parc Extension,
Notre-Dame-de-Grâce
et Marie-Uguay.

Merci à Caroline Dardenne et Luc-Martial Dagenais.